"C'est pas comme si c'était grave" aux éditions "Les points sur les i" a été co-écrit par David Wirtz, Anaïs Clot, Alexandra Henry. Je n'ai pas lu ce livre, mais j'ai eu l'occasion de croiser David: Car ce livre est avant tout son histoire, son parcours. Il parle de ses galères, de la rue, et d'un fléau qui frappe de plus en plus en plus de personnes aujourd'hui: la solitude. Perte d'un emploi, séparation, maladie... Il suffit parfois d'une cassure pour que tous ceux que l'on croyait des amis vous tournent le dos. Aujourd'hui, David a trouvé un travail, mais toujours pas de logement. En se racontant, David, dit-il, a voulu "pousser un coup de gueule". A écouter et à entendre !


Reportage au Fil Rouge, une maison qui accueille des jeunes orphelins.

Le chef du Comité olympique français, Henri Sérandour calme le jeu... Il se dit désormais favorable à un badge version mondiale. "Pour un monde meilleur" oui, mais si le badge est porté par tous les athlètes !
Une manière très polie de noyer le poisson ! Nos sportifs devraient prendre les choses en main.

Les athlètes français ne porteront pas de badge à Pékin. Ainsi en a décidé le Comité National Olympique. A moins que ce ne soit le gouvernement chinois lui-même, ce qui ne serait pas impossible, vu que c'est déjà lui qui a géré en sous-main le parcours de la flamme à Paris... Honnêtement, je n'ai pas trouvé très judicieux les péripéties parisiennes du symbole des JO: attaquer la flamme et mettre le bazar ne sauveront pas les Tibétains. Ce n'est pas leur rendre service, la preuve: les Chinois aujourd'hui, plus que jamais, se replient sur eux-mêmes et le nationalisme fleurit ! D'autre part, pourquoi se préoccupe-t-on aujourd'hui seulement de la cause tibétaine, alors que cela fait des années et des années qu'ils sont persécutés ? C'est le mystère de la culpabilité occidentale. Culpabilité à 2 balles ! Mais demain, après les JO, on y pensera encore aux Tibétains et aux autres minorités réprimées ?
Quitte à agir, pourquoi ne par rechercher la véritable efficacité: boycotter les produits chinois à tout niveau. Seriez-vous prêts à le faire ? Pas sûr...