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  • De la mort

    Dans un désert de dunes, l'immense sablier du temps

    Qui coule, comme une anguille entre les mains d'argile

    Rien pas une ombre, pas un souffle de vent

    La vie, cynique, s'enfuit pieds nus vers un nouvel asile

    Et le Jardin d'Eden, à quoi ressemblera-t-il, aux couleurs acidulées

    La mort aura-t-elle le goût d'une gorge sèche ou de la liberté

    Qui veut savoir, après tout, c'est le plus grand, le plus beau des secrets

    Tu pars, je reste, le destin est ainsi fait

    Perché là-haut, bien au-delà des cimes de Dieu

    Il faut veiller sur ceux qui dansent encore.